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Être végétarien, végétalien ou flexitarien, un nouveau mode de vie ?

Depuis peu je me suis intéressée de plus près à ces nouveaux modes de vie.

Pour nous éclairer sur ces choix confus et parfois risibles pour beaucoup d’entre nous, je vous propose de reprendre ces quelques définitions:

Végétarien : régime alimentaire excluant toute chair animale (viande, poisson), mais qui admet en général la consommation d’aliments d’origine animale comme les œufs, le lait et les produits laitiers (fromage, yaourts).

Végétalisme : est une pratique alimentaire qui exclut les produits animaux (viandes, poissons, crustacés, mollusques) et les sous-produits d’origine animale (produits laitiers, œufs, gélatine, miel, etc. ).

Flexitarien : est une pratique alimentaire qui consiste à être flexible dans la pratique végétarienne. En 2003, l’American Dialect Society a choisi le mot (anglais) flexitarian comme le néologisme le plus utile de l’année le définissant comme « un végétarien qui mange occasionnellement de la viande ».

Nouvelle religion, nouvelle mode ou prise de conscience ? :

Ces pratiques sont souvent pointées du doigt. Comme je le disais dans un article précédent sur le bio c’est bien mais est ce vraiment bon ? ces régimes deviennent des nouvelles discussions de table en plus du climat politique anxiogène.

Cependant, je me suis toujours posée la question si il était vraiment nécessaire de débattre sur sa manière de manger. « Manger » nous sommes tous d’accord que c’est un besoin primaire. Nous en avons besoin pour vivre mais sommes-nous obligés de manger de la même manière que tout le monde ? Selon les dernières études les français ont changé leurs méthodes de consommation dues à une prise de conscience sur l’environnement, leur santé et la manière dont sont élevés les animaux.

Pour ma part, je ne suis pas végétarienne ou végétalienne je suis plus dans une démarche step by step. Je n’ai jamais été adepte de la viande en revanche j’ai toujours eu une sensibilité sur la manière dont été traités les animaux.

Personnellement je ne mange plus de porc. Alors on me cantonne à la religion musulmane (chose qui ne me dérange guère !) mais la question est tout de suite automatique : « Alors depuis quand es-tu musulmane ? » –  Allô, j’ai le droit de ne plus aimer cette viande sans être automatiquement adepte d’une religion. Il faudrait définir à nouveau le terme METTRE DES GENS DANS DES CASES.  Je ne me sens pas offusquée mais on se sent obligé de se justifier encore et toujours en disant que c’est surtout à cause de la manière dont ces petites bêtes sont traitées et élevées.

 

Pareil pour  le veau ou l’agneau : Je refuse catégoriquement de manger ce type de viande. Je passerai les détails sur le traitement de la mère et du petit. Je trouve juste cruel de tuer un bébé. Pardon un GROS bébé pour certains qui ne comprennent pas mon raisonnement. Mais en retour est-ce que je les juge car ils mangent ce type de viande ? Bien au contraire, nous sommes dans un pays où nous avons la chance d’avoir mille et un choix gastronomiques. Vous me direz : « Quel gâchis ! »  Alors oui, la seule viande que je mange c’est du poulet MAIS élevé en liberté et sans ogm pour la simple et bonne raison que l’apport en protéine m’est important. J’ai tenté de vivre sans cette viande mais mon corps s’est vite senti affaibli. Pour le poisson c’est le même combat, il est nécessaire pour les neurones. Par ex: l’huile de poisson est connue pour préserver les fonctions cognitives: mémoire, résolution de problèmes, calcul et organisation spatiale, recherche et analyse. Source  : Notre temps

Pour finir:

La traçabilité est également importante aussi bien pour sa propre santé que pour le bien-être des animaux et de l’environnement. Je pense  et ce n’est que mon mince avis que l’ essentiel est la T-O-L-E-R-A-N-C-E .

Et vous quelle méthode adoptez-vous ?

 

 

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